La bioénergie va permettre de contrôler l’état énergétique de la personne désireuse de mincir, afin que celle-ci puisse y procéder dans des conditions optimales de sécurité et avec un caractère définitif.
En effet, l’amincissement nécessite une dépense énergétique énorme et si l’énergie est déjà en grande partie absente ou si elle ne circule pas correctement dans le corps, elle va entraîner un déséquilibre énergétique qui va se manifester par des troubles divers, des maux plus ou moins récurrents (voir article blog « Bioénergie : votre corps s’exprime »). Le corps ne pourra faire un effort supplémentaire alors même qu’il n’arrive pas à gérer le quotidien…Il faut éviter également au corps de faire le « yoyo », ce qui est dangereux à long terme.
La bioénergie propose pour se faire :
- Un bilan énergétique préalable qui permettra :
On ne parlera pas de régime mais de modification des habitudes alimentaires : apprendre à se nourrir correctement en respectant ses besoins, en privilégiant les aliments adaptés, en évitant de tomber dans les pièges de l’alimentation industrielle, en apprenant à utiliser des produits de base avec un mode de cuisson approprié afin de préserver vitamines et minéraux. Varier son alimentation et apporter à chaque repas si possible des protéines, des glucides, des fibres, vitamines, et sels minéraux.
Katherine PETIT : bioénergéticienne - Naturopathe - 06 11 83 29 54
En effet, l’amincissement nécessite une dépense énergétique énorme et si l’énergie est déjà en grande partie absente ou si elle ne circule pas correctement dans le corps, elle va entraîner un déséquilibre énergétique qui va se manifester par des troubles divers, des maux plus ou moins récurrents (voir article blog « Bioénergie : votre corps s’exprime »). Le corps ne pourra faire un effort supplémentaire alors même qu’il n’arrive pas à gérer le quotidien…Il faut éviter également au corps de faire le « yoyo », ce qui est dangereux à long terme.
La bioénergie propose pour se faire :
- Un bilan énergétique préalable qui permettra :
- d’estimer le capital énergétique de la personne,
- de déterminer les causes d’un éventuel déséquilibre : aussi bien les causes exogènes qu’endogènes (prendre en compte les facteurs géo biologiques, climatiques, saisonniers, les facteurs psychiques ou émotionnels, les perturbations électromagnétiques nocives etc…)
- de remédier à ces déséquilibres,
- de relancer l’élimination des toxines et des déchets du corps.
On ne parlera pas de régime mais de modification des habitudes alimentaires : apprendre à se nourrir correctement en respectant ses besoins, en privilégiant les aliments adaptés, en évitant de tomber dans les pièges de l’alimentation industrielle, en apprenant à utiliser des produits de base avec un mode de cuisson approprié afin de préserver vitamines et minéraux. Varier son alimentation et apporter à chaque repas si possible des protéines, des glucides, des fibres, vitamines, et sels minéraux.
- On choisira une nourriture riche au niveau énergétique autant que faire se peut. Pour cela, il est préférable d’acheter ses fruits et légumes à des maréchaux de la région, et si possible sans engrais et pesticides. Si le corps trouve l’apport énergétique dont il a besoin, il va s’autoréguler…La satiété sera plus rapide. Par contre une alimentation pauvre en énergie oblige les consommateurs à avaler plus de nourriture. L’estomac réclame jusqu’à temps de trouver un peu d’énergie.
- On constituera un stock de minéraux préalable pour les personnes en déficit (adolescence, suite grossesse ou convalescence, ménopause etc…) sur lequel l’individu viendra puiser au lieu d’entamer le stock de base.
- On apprendra à s’hydrater suffisamment avec une eau qui soit compatible avec nos cellules et qui n’encrasse pas le métabolisme.
- On se fera plaisir en mangeant. C’est un des premiers plaisir de l’être humain. Le moment du repas doit être un moment privilégié pris dans le calme et si possible dans un environnement agréable. Si on n’a pas de temps de manger, le repas sera léger et on respectera encore plus les principes de base de la diététique. Il ne faut pas oublier ce que le père de la médecine occidentale Hippocrate disait : « Que l’alimentation soit ton seul médicament ». Cela est bien sur toujours d’actualité. Nous savons que la « santé est dans notre assiette ». Il faut néanmoins être conscient qu’il devient de plus en plus difficile de bien s’alimenter. En effet, choisir une nourriture qui apporte vitamines, minéraux, oligo-éléments n’est pas chose aisée en raison d’une part, des cultures intensives qui appauvrissent considérablement les sols ce qui diminue la valeur nutritionnelle, et d’autre part, des délais de transport des denrées alimentaires qui, entre le moment de la récolte et le moment où on les retrouve dans notre assiette, ont perdu leur qualité vibratoire.De ce fait, certaines personnes peuvent avoir une alimentation déséquilibrée et présenter certaines carences.
- Un comblement de carences. Là, le rôle de la bioénergie est essentiel car ces carences seront déterminées de façon scientifique. Cela permettra d’éviter de prendre des compléments alimentaires inutiles qui feraient travailler encore davantage les organes de la digestion et entraîneraient une dépense énergétique supplémentaire et de ce fait un déséquilibre.
- Un protocole personnalisé tant au niveau alimentaire qu’au niveau des soins en fonction du profil de la personne et de ses objectifs. (enveloppement d’algues ou de minéraux selon qu’il faille perdre de l’eau ou de la graisse, drainages lympho-énergétiques manuels à visée d’élimination des toxines et de la rétention d’eau, électro-drainage pour les zones de cellulite, massages relaxant quand la personne a un stress non géré, techniques de respiration etc…
Katherine PETIT : bioénergéticienne - Naturopathe - 06 11 83 29 54
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